De Mao, je vous parle pratiquement 1 fois par mois - cela fait 5 mois qu'il est à la maison : heureux, amusant, bruyant, curieux. Il parle. . mais ses progrès ne sont pas fantastiques . . . " Coucou, même cou.cou.cou, je t'aime , Mao, ça va ".Difficilement il dit " bonjour " mais ce bonjour a du mal à sortir, il fait un effort considérable , il va le chercher très loin au fond de la gorge . . Le soir il colle sa tête contre moi , il reste un temps infini à demander des " ptits calins " quand j'arrête il me prend la main avec le bec pour que je recommence encore et encore.
quand il mange il se sert de sa patte comme d'une main
il est d'une adresse extraordinaire , il tient un grain de riz dans sa patte, pour le décortiquer ,
alors que moi, j'ai un mal fou avec ce grain de riz qui me nargue au fond du bol, et qui semble me dire quand j'approche les baguettes
" je suis le dernier grain de riz et tu vas en chi. . pour me manger ".
Mao, lui, se débrouille comme un chef -je ferai des photos -
j'aime cette dernière photo où l'on voit tout le détail de son plumage. . Là il n'a pas pris le temps de nettoyer son bec . . .
Mao n'est pas mon premier perroquet, il n'est pas chez moi parce que c'est la mode, mais parce que je trouve ces oiseaux passionnants intelligents et attachants. ils demandent beaucoup de présence, beaucoup de patience aussi, et ça je n'ai pas, mais avec lui je reste d'un calme exemplaire . . .